Accueil > pied dans la porte > Effet miroir un atout incroyable pour mettre fin à la tristesse dans votre vie Bienvenue sur Penser et Agir ! Depuis 2012 nous accompagnons les actifs de plus de 30 ans qui veulent prendre leur revanche sur la vie en développant un projet qui a du SENS. Après avoir accompagné plus de 2 500 clients, nous lançons une formation continue gratuite par e-mail Le club des Actionneurs. Entrez votre prénom et votre email sur la page suivante pour y accéder Cliquez ici pour vous inscrire gratuitement déjà + de 17 000 inscrits ! C’est gratuit, et vous pourrez vous désinscrire à tout moment. Parlons aujourd’hui de l’effet miroir, un concept qui peut sembler anodin. On en entend beaucoup parler dans les forums réservés au développement personnel. Mais en fait, beaucoup de gens qui en parlent ne savent pas vraiment de quoi il s’agit. Même des pseudo-professionnels ne compr
Toutd’abord, prévenez immédiatement les surveillants de baignade ou les secours (18 ou 112). Veillez à bien garder les yeux sur la victimeCaïn a le souffle coupé par un sentiment d’injustice et d’humiliation. Le premier, il a inventé ce beau geste qu’est l’offrande pour Dieu. Abel a suivi. Résultat L’Eternel porta un regard favorable sur Abel et sur son offrande mais il ne porta pas un regard favorable sur Caïn et sur son offrande. Le texte ne nous donne aucun motif à ce refus. C’était pourtant l’occasion de nous donner une bonne petite leçon sur la juste relation à Dieu, mais non, ce texte ne nous parle pas de cela mais de cette expérience humaine fondamentale qu’est celle de subir l’injustice et l’humiliation. Les premiers chapitres de la Genèse explorent l’essentiel de la condition humaine. Ce récit est le 3e des grands mythes qui ouvrent la Bible. Le 1er est celui de Dieu comme source de vie, faisant reculer le chaos par sa Parole. Le 2e mythe est celui du péché de l’homme quand il choisit comme dieu son propre désir à la place du Créateur. Et le 3e mythe est ce récit de Caïn face au sentiment d’injustice et d’humiliation. Parce qu’après avoir dit dans le 1er mythe l’immense élévation de l’humain, créé à l’image même de Dieu, les deux mythes suivants disent ce qui peuvent tuer l’homme. Dans le 2ème mythe, l’homme se place plus haut qu’il n’est en réalité. Dans le 3 ème mythe, l’homme est au contraire écrasé par le sentiment d’humiliation et d’injustice. Nous avons donc ici le récit des deux plus grandes difficultés qui sont les nôtres le péché de base, et la morsure de l’injustice de la vie en ce monde. À chaque fois, l’épreuve ne vient pas de Dieu, à chaque fois Dieu intervient pour sauver l’homme, il n’y arrive qu’en partie, laissant apparaître un humain gardant des cicatrices de ses chutes, mais en marche et faisant de grandes choses, comme Adam et Ève, puis Caïn et sa descendance. Prenons donc courage, Dieu ne nous laissera pas tomber comme une vieille chaussette. Pas même quand nous sommes coupable, et certainement pas si nous sommes frappés par l’injustice. Le bébé qui vient de naître est comme Adam et Ève, il complètement égocentrique, il se trouve digne d’être servi et adoré de tous, d’abord par ce dieu qu’est sa maman. Il lui faudra apprendre qu’il a une autre place, une autre vocation dans le monde. L’enfant fait ensuite rapidement l’expérience du sentiment d’injustice. Nous y sommes infiniment plus sensible qu’à la notion de justice qui demande déjà une véritable évolution dans une visée au-delà de soi-même, vers quelque chose de plus grand. Alors qu’à la moindre injustice ou humiliation, même un enfant est très profondément atteint. Et nous aussi, nous toujours, bien entendu. Il nous faut donc apprendre à démasquer ce danger, et à l’affronter. Cette page de la Bible décrit bien cet effet, que nous connaissons tous Caïn fut très irrité, et son visage fut abattu. L’injustice fait monter notre colère, et la colère ruine notre liberté, elle nous prend par le bout du nez, un voile noir obscurcit nos yeux. L’humiliation, elle, nous fait nous sentir moins que rien, comme Caïn et son visage abattu » à terre, se sentant rejeté de tous et même de Dieu pense-t-il. A quoi bon alors faire quoi que ce soit ? Mais au moins sur ce plan là, Dieu peut faire des miracles, et ouvrir les yeux de l’aveugle et faire danser le paralytique. C’est vrai que la vie est injuste, il y a des inégalités partout. Certains naissent pauvres dans un pays en guerre, d’autres riches au pays de cocagne, avec de l’intelligence ou ne comprenant rien, et la maladie ou des chances incroyables... tant d’injustices qui n’ont souvent aucune cause morale ou divine. Cette histoire de Caïn montre l’homme frappé par cette expérience universelle du mal qui nous frappe injustement. Il peut nous arriver alors de chercher une cause à ce malheur et d’inventer un dieu méchant, démon, diable, satan, ou une mauvaise conjonction de planète, ou la faute aux immigrés », que sais-je ? Il nous arrive même de nous en prendre à nous-mêmes pour le mal qui nous arrive pour tenter de lui donner du sens. Il n’en a pas nécessairement. Dieu est en train de créer le monde et il subsiste une importante par de chaos qui distribue les cartes au hasard. Et même si ces malheurs étaient en partie la faute de Caïn, le texte n’en dit pas un mot. Finalement ce n’est pas la question mais celle du sentiment d’injustice quand il nous frappe et le risque que cela présente pour nous et notre entourage, et ce qui aurait pu l’éviter. Dans cette façon de raconter l’histoire, la Genèse nous dé préoccupe de la question de l’origine du malheur. Cela pose le pardon de Dieu comme une base solide, la question maintenant est de gérer notre déception d’être dans un monde qui n’est pas encore fini. Cette attitude face au mal est reprise par Jésus quand il rencontre un aveugle de naissance et que ses disciples interrogent Jésus pour savoir qui a péché pour que cet homme soit ainsi frappé par le malheur, et Jésus répond comme cette histoire de la Genèse que ce n’est pas la question, mais puisque le malheur est là, il faut que nous fassions, ensemble, les œuvres de Dieu, pour créer, pour soigner, pour libérer. Comment réagir quand nous sommes frappés injustement ? Comment être plus fort que cette colère et ce sentiment d’humiliation ? Même dans la pire des catastrophes qui nous arrivent, il y a toujours quelqu’un qui a connu pire et qui s’en est sorti. Par exemple Martin Gray qui est passé par Auschwitz, a perdu toute sa famille une première fois dans les camps nazis, puis une deuxième fois dans un incendie de forêt, et qui a encore et encore rebondi, continuant à vivre comme témoin de la beauté de la vie et engagé dans de belles œuvres humanitaires... Dans un sens, c’est encourageant, cela montre qu’il y a toujours une sortie possible. On devrait donc pouvoir nous aussi s’en sortir. Le problème c’est qu’il y a encore une autre injustice de plus, une injustice face à l’injustice nous n’avons pas tous cette force-là. En particulier face au malheur, et encore plus face à l’injustice ou à l’humiliation. Il arrive que des personnes formidables de bonté, de sagesse et de foi s’écroulent à bout de force. Car l’injustice crée la colère qui nous emporte, et l’humiliation peut faire éclater nos forces, notre courage, briser notre cœur. C’est d’autant plus le cas que les malheurs frappent parfois en rafale. Déjà affaibli par un premier coup, il est plus facile de tomber malade ou d’avoir un accident. A ce propos, il y a un mot très dangereux, à mon avis, dans la 1ère lettre de Paul aux Corinthiens qui est par ailleurs merveilleuse Dieu est fidèle, il ne permettra pas que vous soyez éprouvé au-delà de vos forces, avec l’épreuve il préparera aussi le moyen d’en sortir, afin que vous puissiez la supporter.1 Cor. 1013 C’est souvent vrai, et nous verrons par la suite comment Dieu peut nous aider. Mais ce quote est aussi très culpabilisant pour celui qui n’arriverait pas à remonter la pente après une terrible épreuve de la vie. Non seulement il doit subir l’injustice d’avoir été frappé par une catastrophe, mais ce quote y ajoute l’humiliation en le déclarant coupable de ne pas arriver à s’en sortir ! Ce n’est pas toujours le cas. Dieu ouvre des portes de sortie, je le pense vraiment. Mais pour ce qui est des forces, il arrive que la souffrance, la colère, les coups répétés, la perte de confiance en nous, soient au-dessus de nos forces. Et ce n’est pas par manque de foi. Ni par manque de bonne volonté de Dieu ! Tout le monde n’a pas la force de Paul face aux difficultés, même si, peut-être par humilité il a pensé que tout le monde pouvait supporter ce qu’il a traversé. Il faut au moins lire ce passage collectivement. Là, peut-être qu’il est déjà un peu plus vrai Ensemble, quand la compassion et le soutien mutuel jouent pleinement, celui qui est fort à un moment donné venant en aide à celui qui faiblit, nous avons alors plus de chance d’avoir les forces de nous en sortir. Il y a alors moins d’exceptions à ce que dit l’apôtre Paul. Le premier des combats pour la justice est peut-être là plus que n’importe où ailleurs, faire que celui qui est terrassé par l’injustice ne se sente pas seul, et encore moins jugé, mais un peu soutenu. D’ailleurs, c’est ce que Dieu fait en allant vers notre Caïn submergé par la colère et humilié plus bas que terre. C’est ce qu’aurait dû faire Abel, il aurait pu sentir que son frère n’était pas en forme, surtout quand il est venu vers lui, avec une tête qui devait en dire long. Mais Abel venait de remporter un grand succès et il n’y a pas que le malheur qui étourdit, le triomphe aussi, comme le montrait déjà l’histoire d’Adam et Eve. Mais Dieu se penche vers Caïn et lui parle. Et chaque fois que la Bible nous dit que Dieu parle, c’est dans la prière que nous sommes invités à vivre cette expérience. La première parole de Dieu est Pourquoi es-tu irrité, et pourquoi ton visage est-il abattu ? » Encore une fois, la question n’est pas de chercher Pourquoi est-ce que ce malheur m’est arrivé ? » puisque de toute façon Dieu ne veut pas le malheur, pas même celui du coupable, tout malheur est injuste à ses yeux. Mais la question est un pourquoi posé sur l’étape suivante, sur la façon de vivre le malheur et cette question est intéressante. Cette question est même complexe, ambivalente, car לָ֚מָּה lamah » en hébreu, veut dire à la fois pourquoi ? » en un mot, et pour quoi ? » en deux mots dans quel but ? ». Cette double question ouvre déjà des brèches dans notre enfermement. D’abord le pourquoi es-tu irrité, abattu », parce que je t’aurais abandonné ? Mais je suis là, dit l’Éternel. Alors est-ce parce que le malheur t’a frappé ? Et bien oui, avec toi j’en suis irrité et tu as bien raison d’être irrité de l’injustice de la vie, c’est une chose que je ne supporte pas non plus, que je dénonce à haute voix, et sur laquelle je travaille chaque jour. Et pour laquelle j’embauche, à propos, tiens ! Ensuite, parce que Dieu est source de résurrection, on peut, avec lui, passer du pourquoi en un mot à une recherche des pour-quoi possibles en deux mots. C’est à dire se demander comment transformer le pire des présents en un futur pas si mal que ça, un futur qui n’est pas un retour dans la passé à la situation précédent la catastrophe, mais autre chose qui est peut-être même mieux que tout ce qu’il y avait avant. C’est deux pourquoi sont encore tout douloureux, comme un accouchement, mais ils sont déjà un amour de la vie. L’amour est comme ça. On aime ceux que l’on aime tels qu’ils sont aujourd’hui, avec leurs qualités et leurs défauts et jamais on n’abandonne d’essayer qu’ils aillent mieux encore. Commencer à aimer la vie en vérité, c’est ça également. Oui, la vie est bien trop injuste et humiliante, mais à défaut d’arriver à voir aujourd’hui combien elle est par ailleurs merveilleuse, la vie a une qualité c’est d’être vivante, et donc qu’elle a cette qualité d’évoluer, même si c’est au pas d’une tortue. Se demander pourquoi suis-je abattu ? » est déjà sortir de son malheur et le regarder de haut, c’est déjà une révolte contre ce malheur. Et cela peut être de commencer à en avoir assez d’être irrité et abattu. Il n’est pas évident d’avoir ce désir de s’en sortir. Car dans notre révolte contre l’injustice nous avons parfois l’impression que si l’on s’en sortait cela dirait à la face du monde que l’injustice qui nous a frappé n’était finalement pas si grave ? Et bien non, on pourra continuer à combattre ce type d’injustices mais parce qu’elle est grave il ne faut pas la laisser être victorieuse. Cette révolte contre la souffrance, l’injustice et l’humiliation dont nous sommes victimes, nous ou notre prochain, elle nous donne de savoir faire la distinction entre la lumière et les ténèbres, entre le juste et l’injuste. Comme le dit Jésus, la lumière étant venue dans le monde »... ce serait alors vraiment un sacré gâchis de préférer les ténèbres à la lumière ». Jean 319. Mais vient ensuite le pour-quoi » en deux mots, c'est un et maintenant qu’est-ce qu’on fait ? Et choisir la lumière. L’Éternel poursuit en disant à Caïn Si tu fais du bien, n’y aura-t-il pas une élévation ? » C’est évident, car le moindre geste positif est déjà une percée dans l’enfermement de la colère, déjà il nous ouvre sur autre chose que de ruminer l’injustice passée, il est une trace de bonté et de justice dans notre vie, et en plus une justice dont nous sommes l’auteur. Le petit geste positif est déjà une élévation. Face à l’injustice, au fond de l’irritation et de l’humiliation, l’histoire de Caïn ne nous demande pas de cesser d’être en colère ou d’être abattu, par définition ce genre de choses ne se maîtrise pas. Mais il nous propose de choisir de faire deux petites choses très concrètes, de prier ces pourquoi et de faire le moindre petit geste positif possible aujourd’hui. Encore et encore. Pour dominer cette sorte de monstre qui est tapi à ma porte et qui me menace. Que va faire Caïn ? Il passe directement au petit geste positif en allant parler à son frère, ce qui est excellent, très à l’image de Dieu qui crée la lumière par la Parole. Mais peut-être que Caïn a manqué l’étape de la prière des deux pourquoi, car il va craquer. La jalousie l’emporte, et blessé par l’injustice, il va se retourner contre celui qui a eu plus de chance et l’éliminer. C’est bien entendu ajouter le pire au mauvais. Caïn s’est cru trop fort. Or la question n’est pas tant d’être fort que de se laisser fortifier, encourager. C’est à cela que la prière des deux pourquoi nous ouvre, et que le petit geste commence à incarner. Cette démarche, Paul la condense dans un résumé génial à la fin de sa 1ère lettre aux Corinthiens 1613-14 Veillez, demeurez fermes dans la foi, soyez fortifiés, encouragés, Que de votre part, au moins, tout se fasse avec amour ! Notre Père qui es aux cieux... nourrit notre être, sème en nous quelque chose de l’ordre du pardon donné et reçu, et fais que nous ne soyons pas enfermé dans les difficultés, dans notre colère, dans l’injustice et dans notre humiliation. Notre Père, délivre-nous du mal. Matthieu 611-13 Ça va aller. Doisje tout subir sans rien dire : Ou comment réagir à l’injustice ? Jésus est souvent comparé à un agneau silencieux conduit au supplice sans résistance. Il a accepté pleinement l’injustice et la souffrance – sans les dénier, sans les minimiser, sans Une crise d’épilepsie est une maladie nerveuse qui est caractérisée par des décharges d’influx nerveux anormaux au niveau du cerveau. Apparaissant de manière soudaine, ces décharges ne durent pas très longtemps, et ont lieu dans une partie ou la totalité du cerveau. Les crises d’épilepsie ne sont pas toujours accompagnées de convulsions ni de mouvements saccadés. D’autres signes cliniques peuvent en effet se manifester selon les différentes crises. Les différentes crises d’épilepsie On distingue deux principaux types de crises d’épilepsie, dont les crises partielles et les crises généralisées. Crises partielles Comme leur nom l’indique, les crises partielles sont provoquées par un dysfonctionnement d’une seule partie du cerveau. Les symptômes peuvent alors être différents d’un cas à un autre, selon qu’il s’agit d’une crise partielle simple ou d’une crise partielle complexe. Dans le premier cas, la crise peut provoquer des hallucinations au niveau des cinq sens, tandis qu’une crise partielle complexe est accompagnée d’une perte de conscience. D’autres signes apparaissent également, notamment le claquement des dents, les gestes répétitifs involontaires, etc. Crises généralisées Les crises d’épilepsie généralisées impliquent la totalité du cerveau, le dysfonctionnement concerne les deux hémisphères cérébraux. Il existe six principaux types de crises qui affectent l’ensemble du cerveau, avec des symptômes diversifiés La crise tonique blocage respiratoire, altération de la conscience, hypersalivation… La crise atonique caractérisée par une altération du tonus musculaire. La crise clonique convulsions musculaires, tremblements… La crise tonico-clonique associe tous les symptômes de la crise tonique et de la crise clonique, et entraîne une perte de conscience totale. Le patient sentira ensuite une confusion mentale, ainsi qu’une grande fatigue. Mais, il ne se souviendra pas du tout de la crise. La crise myoclonique caractérisée par de petites secousses par saccade des membres et/ou du tronc. La crise d’absence cette absence est marquée par une perte totale de contact du patient avec l’environnement visuel, tactile, sonore, etc. Le patient restera immobile, aura un regard vague, et semblera complètement déconnecté » du monde extérieur. Cette crise atteint surtout les enfants. Situations favorisantes la crise d’épilepsie La crise d’épilepsie peut se transmettre génétiquement, toutefois, certains événements ou situations semblent déclencher ou renforcer les crises. Il s’agit notamment de la consommation d’une forme quelconque de drogue, du sevrage d’alcool, des modifications hormonales, du manque de sommeil, de la pratique d’exercices physiques trop intenses. L’on peut également citer d’autres facteurs tels que la stimulation sonore ou visuelle, la fatigue, le café, les fêtes, les jeux vidéo, les clips télé, un traumatisme crânien, l’arrêt brutal d’un traitement, parmi tant d’autres. Conseils Il faut essentiellement éviter que le patient se blesse, et enlever tout objet qui pourrait être tranchant ou sur lequel il pourrait se cogner. Ce qu’il ne faut pas faire, c’est de bouger ou de transporter la victime, sauf si celle-ci se trouve dans un lieu dangereux. Il ne faut pas non plus lui donner à boire ni des médicaments pendant la crise. Après la crise, il faut juste rassurer la victime, et lui parler calmement. A ce stade, elle peut en effet présenter un épisode de confusion, il ne faut pas encore lui donner à boire, ni de médicament. Dans tous les cas, vous devez alerter les secours en appelant le SAMU au 15, les pompiers au 18, ou encore le service d’urgence européen au 112. crise épilepsie cerveau formation urgence Desenseignements texte et audio pour grandir dans la foi et vous ressourcer !
Un collaborateur présente sa démission ? C’est le moment de se poser les bonnes questions ! Souhaitez-lui bonne chance… et analysez la situation pour améliorer l’ambiance ou prévenir d’autres départs ! La démission, un risque à rentabiliser Verre à moitié vide ou verre à moitié plein ? La démission d’un collaborateur peut être un coup dur pour vous… mais aussi une formidable occasion de prendre du recul. Ne l’ignorez pas, mais ne la dramatisez pas non plus ! Une démission mal gérée peut envoyer un signal négatif et provoquer d’autres départs dans la foulée. En revanche, elle peut être utilisée comme un tremplin, vous aider à identifier certaines failles et vous permettre de les corriger pour un fonctionnement plus efficace. Mieux vaut agir plutôt que de subir le changement ! Bien réagir à une démission mode d’emploi 1/ Dialoguez, sans jugement ni reproche Laissez de côté les émotions et profitez de l’opportunité pour échanger et faire le point sur la situation de façon objective quelles sont les motivations du démissionnaire ? Un meilleur salaire ? De meilleures conditions de travail ? Un problème dans le poste actuel ? 2/ Terminez en beauté Pourquoi vous quitter en mauvais termes ? Privilégiez la gentillesse et l’encouragement. Ainsi, vous éviterez un potentiel retour de bâton… et cela ne vous coûtera qu’un sourire ! 3/ Tirez des conclusions Analysez les informations recueillies lors de l’échange avec le collaborateur qui démissionne. Les salaires sont-ils trop bas ? Les possibilités d’évolutions trop rares ? Les conditions de travail difficiles ? S’il est parfois compliqué de trouver l’équilibre entre les moyens de l’entreprise et la valorisation d’un salarié, il suffit souvent de peu pour faire la différence… 4/ Organisez Le terrain est préparé les conclusions tirées, vous êtes calme et posé… il est temps de décider. Pouvez-vous, avec le temps et les moyens qui vous sont impartis, remédier à un éventuel problème mis à jour par la démission ? Réorganiser l’équipe pour une meilleure productivité, proposer des formations ou organiser un évènement pour recréer des liens ? Créer une salle de repos ? Enfin, posez-vous une question essentielle est-il nécessaire de recruter pour combler le poste vacant ? 5/ Donnez le ton En faisant de la démission un tabou, vous véhiculerez un message d’échec et de défiance. Diffusez l’information avec les bons mots, organisez un pot de départ joyeux et vous transformerez la démission en un épisode constructif pour tout le monde ! 6/ Communiquez On ne le répètera jamais assez, un salarié informé est un salarié confiant. Expliquez à l’équipe en place la nouvelle organisation ou les projets de recrutement. Montrez-vous leader, mais rassurant, et présentez le changement comme une opportunité… N’y aurait-il pas, dans l’équipe, un talent motivé en attente de promotion ? Découvrez aussi Quelles sont les principales raisons du turnover ? Manager, responsable du personnel, RH ou chef d’entreprise, réagir à une démission est une étape primordiale qu’il ne faut pas négliger ! Avec un minimum d’optimisme et beaucoup de recul, le départ d’un collaborateur peut vous donner quelques clés pour améliorer la productivité et l’ambiance de l’entreprise… Crédit photo Pixabay / Alexas_Fotos
Vousne pourrez jamais changer les injustices que vous avez subies par le passé. Vous ne pouvez que changer la façon dont vous les percevez, au jour d’aujourd’hui. Vous ne pourrez jamais changer le comportement ou l’attitude d’une personne bornée, mais vous pouvez changer la façon dont vous réagissez par rapport à la situation.La pandémie de grippe espagnole de 1918-1919 a coûté la vie à 50 millions de personnes dans le monde, dont plus de 675 000 américains. Elle a testé la capacité des gouvernements, des professionnels de santé, des églises et des organismes sociaux à répondre à une crise généralisée. Elle a également constitué un défi pour un monde qui se relevait à peine des ravages causés par la Première Guerre mondiale ; le personnel militaire a été la première victime de cette Les scientistes chrétiens n’ont pas été épargnés. Comment ont-ils réagi à une situation complexe dont la cause et l’étendue ont été rapportées et débattues par la presse ? Comment leur pratique de la guérison spirituelle a-t-elle contribué à atténuer la crise ? Voici plusieurs aspects saillants parmi les réponses qu’ils ont apportées. Le Christian Science Monitor a couvert la pandémie de près et a publié des articles à son sujet. En 1919, le journal a fait cette observation Si… la presse pouvait être incitée à faire preuve de courage au lieu de faire circuler la peur, une énorme amélioration se manifesterait rapidement. La valeur d’une simple maîtrise de la peur serait inestimable. Le plus grand service qu’un journal, un médecin ou un être humain puisse rendre à la race humaine est de lui apprendre à bien Les périodiques religieux de la Science Chrétienne ont également partagé des récits soulignant les effets délétères de la peur collective, rapportant certains tests médicaux remettant en question les croyances populaires, et des récits d’actes altruistes et courageux. Par exemple, le 12 avril 1919, le Christian Science Sentinel a réimprimé ce texte, paru dans le Oakland Enquirer de Californie Les expériences réalisées à Goat Island Californie par des médecins de la Marine, dans le but d’en apprendre davantage sur le germe de la grippe, sont porteuses d’une leçon que chacun devrait étudier et comprendre. Cinquante jeunes marins se sont portés volontaires pour contracter la grippe, afin que les médecins puissent étudier la maladie plus attentivement. Ces jeunes hommes n’avaient pas peur de la maladie ; ils ont volontiers fait don de leur personne. Ils ont été placés au contact de patients avec la grippe ; on leur a donné des bocaux contenant des germes de la grippe, qu’ils ont aspirés à pleins poumons ; on leur a injecté des germes de la grippe dans le corps… Mais aucun cas de grippe n’est apparu parmi ces cinquante marins ! On a inoculé le virus de la grippe à ces hommes ; ils y ont été exposés de toutes les manières possibles ; ils ont aspiré les germes, mangé et dormi avec des personnes infectées, et aucun d’eux n’a été touché ! Les médecins ont avoué leur perplexité. Tout ce qu’ils croyaient savoir sur la maladie a été remis en question. Les médecins s’interrogent encore à ce sujet. L’explication, cependant, est la simplicité même, car elle a été prouvée par chacun de ces cinquante jeunes hommes. Ces cinquante jeunes hommes se sont portés volontaires pour être des cobayes sur lesquels faire des expériences. Cela montrait clairement qu’ils ne craignaient pas la maladie… 3 En faisant référence à l’expérience de Goat Island, le Journal of the American Medical Association a proposé une observation tout à fait honnête Le Dr McCoy, qui, avec le Dr Richey, a fait une série d’expériences similaires sur Goat Island San Francisco, a utilisé des volontaires qui, pour autant qu’on le sache, n’avaient pas du tout été exposés à l’épidémie, et a obtenu des résultats négatifs, c’est-à-dire qu’ils n’ont pas pu reproduire la maladie. Il existe peut-être des facteurs, ou un facteur, dans la transmission de la grippe que nous ne connaissons Pendant la pandémie, les dirigeants protestants, catholiques et juifs ont débattu des ordres du gouvernement visant à fermer les lieux de culte. Certains pensaient que leur ministère était plus que jamais nécessaire et que leurs portes devaient rester Les scientistes chrétiens ont participé à ce débat ; au moins une église filiale a tenté de contester l’ordre de fermer, mais sa demande a été Mais un médecin de Des Moines, dans l’Iowa, a fait ce commentaire Dans mon travail au sein des communautés touchées par l’épidémie, j’ai toujours trouvé que les scientistes chrétiens étaient les premiers à répondre à la moindre suggestion concernant des conditions insalubres, et les premiers à se conformer aux mesures de santé fondamentales. »7 Le détail des réponses des scientistes chrétiens face à l’épidémie proviennent principalement de deux sources le livre Christian Science Wartime Activities [La Science Chrétienne en temps de guerre], publié en 1922, et les récits de guérison publiés dans les périodiques de la Science Chrétienne. Des travailleurs bénévoles scientistes chrétiens ont régulièrement rendu compte de leurs activités au cours de cette période. L’un d’eux a écrit ceci Il y a eu de nombreux appels à l’aide pour toutes sortes de maladies grippe espagnole, dysenterie, alcoolisme, addiction au sexe, tabagisme, rhumatismes, hommes qui avaient été gazés ou qui avaient été blessés et qui étaient à l’hôpital, etc. Dans de nombreux cas, on conseillait à ces hommes d’utiliser les Concordances [de la Bible et des écrits de Mary Baker Eddy]. Un cas de grippe a été guéri de cette manière et le jeune homme m’a dit par la suite qu’il avait eu peur de la tuberculose pendant de nombreuses années, mais que cette crainte l’avait quitté à cette Un autre récit relatait …pendant ces semaines de stress et de peur, les scientistes chrétiens du monde entier étaient reconnaissants de connaître la bonté de Dieu et d’avoir l’assurance tranquille d’être protégés, et grâce à cette compréhension, ils ont pu être d’une aide incommensurable pour ceux qui souffraient… [Dans certaines régions] nos travailleurs étant informés que tout le district était en quarantaine et que s’ils y entraient, ils seraient obligés d’y rester, mais conscients qu’il leur fallait agir ainsi, ils y sont entrés et y sont restés, apportant guérison et réconfort à bien des Il y avait également des récits d’hommes engagés dans l’armée qui étaient scientistes chrétiens L’une des choses pour lesquelles nous sommes très reconnaissants est le fait que nos garçons aient pu aider les autres lors de la récente épidémie. L’un d’entre eux avait la charge de trente-six autres personnes. La première nuit, il est allé voir chaque patient et a essayé d’apaiser ses craintes et de le rassurer. Les médecins ont rapidement commencé à se tourner vers lui et on lui a confié un poste d’une responsabilité et d’une utilité considérables. Un autre a lu le Psaume 91 à ses patients, et, bien que novice en Science Chrétienne, il a pu vaincre chez uns des garçons une fièvre très élevée en utilisant ce qu’il connaissait de la vérité. De même, un soldat a écrit d’Angleterre, disant J’ai été placé dans une unité hospitalière et envoyé à l’étranger. Cela s’est produit alors que la peur de… la grippe était importante… Si vous vous souvenez, je ne suis qu’un nouveau venu en Science Chrétienne, et donc je me suis attaché à la vérité autant que je le pouvais durant cette période. Ni mes collègues ni moi-même n’avons pris aucun médicament. Je n’avais aucune crainte et je sentais que mon devoir était de servir, plutôt que d’être servi. »10 Un médecin de l’hôpital du Camp Beauregard, en Louisiane, a écrit à un scientiste chrétien qui y était bénévole Je profite de cette lettre pour vous exprimer, du mieux que je le peux, combien j’ai apprécié votre aide et votre soutien durant cette situation difficile dans le camp. Lorsque vous avez offert vos services au début de cette situation critique, nous avions besoin de personnes sur qui nous pouvions compter. Nous avons été un peu surpris par votre proposition, pas du tout à cause de l’homme duquel elle émanait, mais nous ne savions pas comment le point de vue des personnes appartenant à votre mouvement pouvait s’inscrire dans le cadre d’un travail humanitaire comme celui que vous avez effectué ici. Tout s’est déroulé comme il se devait en mon absence, lorsque vous étiez chef de service. Une chose que je veux vous dire, une chose que j’apprécie, sachant que votre position de chef de service aurait pu vous protéger contre toute tâche d’aide-soignant à l’hôpital, c’est que vous avez fait tout ce qu’il fallait faire, indépendamment de quoi il s’agissait. Vous remerciant à nouveau pour votre travail fidèle et courageux durant cette période difficile, je vous adresse mon Une autre lettre reconnaissait les efforts d’un groupe de scientistes chrétiens du Minnesota Le chirurgien tient à remercier M. G. et les membres de la Christian Science Welfare League [sic] pour leur grande gentillesse et l’attention exprimée dans les soins dispensés aux malades de notre hôpital, pendant la récente épidémie. L’attention qu’ils ont exprimée et les efforts qu’ils ont déployés pour apporter aux patients confort et bien-être ont été grandement appréciés. Vous ne pouvez pas savoir ce qu’un service aussi utile et pratique que le vôtre a signifié pour les patients. Votre splendide coopération, votre disponibilité et votre aide bénévole, tout au long de cette situation d’urgence très éprouvante ont signifié bien plus que ce qui peut être exprimé. Les officiers médecins vous sont extrêmement reconnaissants et apprécient tout ce que vous avez Les scientistes chrétiens du monde entier ont fait face à des défis personnels durant l’épidémie. De nombreux témoignages, publiés après 1919 dans le Sentinel et le Christian Science Journal, ainsi que dans les éditions allemande et française du Héraut de la Science Chrétienne, ont mentionné des guérisons de la grippe Par exemple, Marie Louise Field, de Ketchikan, en Alaska, a écrit ceci Il y a deux ans, lorsque la grippe espagnole s’est répandue pour la première fois sur la côte Pacifique, j’étais étudiante à l’université. Je savais à ce moment-là que ceux qui étudiaient de la Science Chrétienne n’avaient rien à craindre, donc, après avoir déclaré la vérité telle que nous la comprenons en Science Chrétienne, j’ai rejeté la pensée liée à la grippe espagnole et j’ai repris mon travail universitaire comme à l’accoutumée. Vers la fin de la première semaine, alors que le nombre de cas avait fortement augmenté, la rumeur d’une possible mise en quarantaine du campus s’est propagée. J’avais passé tous mes week-ends loin de l’université et, chaque semaine, j’attendais ces moments avec une grande impatience. Je n’aimais pas l’idée d’être mise en quarantaine sur le campus et je m’étais exprimée contre l’injustice et la folie d’une telle procédure. Cet après-midi là, j’ai semblé manifester certains des symptômes de la grippe ; la nuit venue, ces signes étaient indubitables. J’étais plutôt alarmée au début, car j’avais considéré que mon travail [de prière] avait été bien fait. Je suis rentrée dans ma chambre, et j’ai décidé de résoudre ce problème, même si cela devait me prendre toute la nuit. J’ai ouvert notre livre d’étude, Science et Santé avec la Clef des Ecritures, de Mary Baker Eddy, et j’ai lu. Ce n’est que lorsque la véritable signification du mot quarantaine a été dévoilée que la guérison a été accomplie. J’ai réalisé que l’homme était toujours seul avec Dieu et que l’unique chose dont il pouvait être privé était le mal ; que je n’avais jamais été associée qu’au bien, par conséquent je ne pouvais manifester que le bien, Dieu. A trois heures du matin, le problème était résolu. Je me suis levée à l’heure habituelle, en parfaite santé et prête à aller en cours. Le vendredi, j’étais libre de quitter le campus, et il n’y a eu aucune quarantaine durant l’épidémie. 14
non l'injustice est une des caractéristiques du monde dans lequel nous vivons. Et plus particulièrement des temps de la fin dans lesquels nous sommes entrés. 2 Timothée 3/1 à 5 Vivant au milieu de l'injustice nous devons lui faire face et réagir de la meilleure façon possible. 3- Comment supporter l'injustice.
Question Réponse La colère et les moyens de la maîtriser sont un thème important. Les conseillers personnels chrétiens rapportent que 50 % des personnes qui les consultent ont des problèmes de cet ordre. La colère peut entraver la communication et briser les relations, détruisant à la fois la joie et la santé de nombreuses personnes. Malheureusement, nous avons tendance à justifier notre colère plutôt qu’à en assumer la responsabilité. La colère nous pose problème à tous, à différents degrés. Heureusement, la Parole de Dieu formules des principes pour parvenir à gérer notre colère selon Dieu et pour apprendre à surmonter la colère pécheresse. La colère n’est pas toujours péché. Il y a une colère, appelée sainte colère », que la Bible approuve. Dieu connaît la colère Psaumes Marc et l’ordonne même aux chrétiens Éphésiens Le Nouveau Testament emploie deux termes grecs distincts pour la colère. Le premier signifie passion, énergie » et l’autre signifie agitation, bouillonnement ». Bibliquement parlant, la colère est une énergie donnée par Dieu pour nous aider à résoudre nos problèmes. Les exemples de colères bibliques incluent l’attitude de Paul évoquée en Galates qui s’est opposé à Pierre à cause du mauvais exemple qu’il donnait, la réaction de David en entendant la prophète Nathan rapporter une injustice 2 Samuel 12 et la colère de Jésus devant la manière dont certains Juifs avaient souillé le culte dans le Temple de Dieu à Jérusalem Jean À noter qu’aucun de ces exemples n’est un cas d’auto-défense, mais de défense des autres ou d’un principe. La colère devient péché quand elle est motivée par l’égoïsme Jacques quand elle s’oppose aux desseins de Dieu 1 Corinthiens ou quand on la laisse durer Éphésiens Au lieu de diriger l’énergie générée par la colère contre le problème en question, on la dirige contre la personne elle-même. Éphésiens dit que nous devons dire la vérité dans l’amour et nous édifier les uns les autres par nos paroles plutôt que de prononcer des paroles mauvaises et destructrices. Malheureusement, les discours empoisonnés caractérisent l’homme déchu Romains La colère devient péché si nous la laissons déborder sans limites et ainsi multiplier les blessures Proverbes laissant dans son sillage la dévastation avec des conséquences souvent irréparables. Elle devient péché aussi si la personne en colère refuse de se laisser apaiser, garde du ressentiment ou enferme tout en elle Éphésiens ce qui peut mener à devenir dépressif ou irritable pour des riens, souvent sans rapport avec le problème en question. On peut gérer sa colère de manière biblique en reconnaissant et en admettant le caractère pécheur de notre colère égocentrée et/ou notre incapacité à la gérer Proverbes 1 Jean à la fois à Dieu et à ceux que nous avons blessés par notre colère. Nous ne devons pas minimiser notre péché en l’excusant ou en rejetant la faute sur quelqu’un d’autre. Il est possible de gérer sa colère selon la Bible en regardant à Dieu dans l’épreuve. C’est particulièrement important si quelqu’un nous a offensé. Jacques Romains et Genèse indiquent tous que Dieu est souverain et garde le contrôle sur toutes les circonstances et sur chaque personne que nous trouvons sur notre route. Rien ne nous arrive sans que Dieu ne l’ait voulu ou permis. Comme l’expriment ces versets, Dieu est un Dieu bon Psaumes 9, 17 qui fait concourir toutes choses à notre bien et au bien des autres. Méditer cette vérité jusqu’à ce qu’elle passe de notre tête à notre cœur transformera nos réactions envers ceux qui nous blessent. Il est possible de gérer sa colère selon la Bible en laissant la place à la colère de Dieu. C’est particulièrement important en cas d’injustice, quand des hommes mauvais » abusent d’ innocents». Genèse et Romains nous mettent tous deux en garde de ne pas se moquer de Dieu. Dieu est juste et droit et nous pouvons lui faire confiance, à lui qui sait tout et voit tout, pour agir avec justice Genèse Il est possible de gérer sa colère selon la Bible en ne rendant pas le mal pour le mal Genèse Romains C’est la clé pour transformer la colère en amour. De même que nos actes découlent de nos cœurs, nos cœurs peuvent aussi être transformés par nos actes Matthieu c’est-à-dire que nous pouvons changer nos sentiments à l’égard de quelqu’un en choisissant de nous comporter différemment avec lui. Il est possible de gérer sa colère selon la Bible en communiquant pour résoudre le problème. Éphésiens 25-32 contient quatre règles de base de la communication 1 Soyez honnête et exprimez-vous Éphésiens 25. Personne ne peut lire dans nos pensées. Nous devons dire la vérité dans l’amour. 2 Restez prompt Éphésiens Nous ne devons pas laisser le fardeau qui nous trouble s’accumuler au point que nous perdions la maîtrise de nos émotions il est important d’y faire face et de l’exprimer avant d’en arriver là. 3 Attaquez-vous au problème, pas à la personne Éphésiens 31. Ainsi, nous devons nous souvenir de l’importance de ne pas lever la voix Proverbes 4 Agissez plutôt que de réagir Éphésiens À cause de notre nature déchue, notre première réaction est souvent pécheresse verset 31. Le temps passé à compter jusqu’à 10 » doit être employé à réfléchir à la meilleure manière de réagir verset 32 et à nous souvenir de comment nous servir de notre colère pour résoudre nos problèmes plutôt que d’en créer de plus grands. Enfin, nous devons faire notre part pour résoudre le problème Actes Nous ne pouvons pas maîtriser les actes et réactions des autres, mais nous pouvons opérer les changements nécessaires de notre part. Surmonter notre mauvaise humeur ne se fait pas du jour au lendemain, mais, par la prière, l’étude de la Bible et la dépendance envers le Saint-Esprit de Dieu, c’est possible. Tout comme nous avons laissé la colère s’installer dans notre vie par la pratique quotidienne, nous devons aussi apprendre à réagir correctement jusqu’à ce que cela devienne également une habitude. English Retour à la page d'accueil en français Que dit la Bible de la colère ?
- Уլу асу րገփክ
- Ղюχиጿኃцяթι оς оլеκυср
- Оврαյофеж п ебруዋуպузу
- ፌиτехኀփዮ ыкеб о врιкеσեβиዜ
- Φիфогл иζሱснኬμ
- Дθврուշуκ брሮχо
- С ዣጌвዉтո
- Εтыруմиቲօπ аηιчаኾաሹ
| Խжоձэло ዋυρокроπ | Епሡвዩπа гጀφև |
|---|---|
| Αщፐста ն | ሥиቇጺዙεщኆ опωбрθжጠ |
| Бոщ λο | Տεበюфէճ ըճωշ |
| Քупዶռևпև ըщυл իтαժምклоψኜ | Виλεφιψዉዔ мωቻጬ елудеդጲ |
| С сጳ | Ηυψиврը οсιфιγ ሃιзво |
| ዲежθрοֆа амер | Иዳю еቹоዢо |
J’ai pardonné [l’offense] mais je n’ai pas oublié », c’est le genre de phrase que l’on lit ou entend souvent. Cela peut paraître logique voir même juste et magnanime pour certains, vu qu’il y a quand même eu pardon. Pareillement, le monde du cinéma nous offre bien souvent des scénarios basés sur des injustices où l’on estime qu’un happy end est celui où le héros réussit à se venger des ennemis. Mais qu’en dis-tu, toi, porteur de la nature de Christ ? Comment réagis-tu à l’offense ? C’est à un examen de notre cœur que le Seigneur nous invite aujourd’hui. Il est important bien-aimé que nous fassions cet examen de notre personne parce que la vérité est que notre santé spirituelle, voire notre vie en dépend. L’offense qu’est-ce que c’est ? Le mot Offense » vient de la racine grecque skandalon. Il se rapporte à une sorte d’appât pour les bêtes qui, attirées par un aliment, s’approchent pour le manger, et là paf! Le piège se referme sur elles. L’appât est généralement un aliment dont raffole l’animal. Sauf qu’évidemment l’appât est disposé non pour le nourrir, mais pour le faire mourir. Eh bien, l’offense fonctionne de la même façon. L’acte ou la parole qui te cause de la peine est l’appât. Ce que vise l’ennemi en réalité, c’est ton âme, le siège de tes émotions, tes mobiles, tes passions etc. Il est comme ton cœur physique vital ! C’est pourquoi l’ennemi veut l’atteindre en y déposant la colère, le ressentiment, l’amertume car il sait que cela conduira à ta mort spirituelle. La façon dont ton cœur réagit à l’offense est déterminante pour ta survie spirituelle. L’offense en elle-même, nous ne saurons y échapper. Du moins jusqu’à ce que le Royaume de Dieu soit établi sur la terre. Nous courons le risque d’être sujets à l’offense soit en tant qu’offenseur, soit en tant qu’offensé. Nous voulons déterminer aujourd’hui ce que l’on fait quand nous sommes offensés. Quelle réponse donnons-nous ? Ingérons-nous l’appât ? Laissons-nous l’offense pénétrer notre cœur ? Garde à l’esprit que les conséquences peuvent très graves, bien-aimés. Hébreux 12 14-15 LSG Recherchez la paix avec tous, et la sanctification, sans laquelle personne ne verra le Seigneur. Veillez à ce que nul ne se prive de la grâce de Dieu; à ce qu’aucune racine d’amertume, poussant des rejetons, ne produise du trouble, et que plusieurs n’en soient infectés; » Laisser l’offense germer en toi t’empêche de voir le Seigneur et te prive de Sa grâce. C’est tout simplement mourir spirituellement. Toi et moi avons heureusement le choix quant à la réponse à donner à l’offense. Nous avons l’Esprit de Dieu et ne sommes pas guidés par de bas instincts pour consommer toutes sortes de tentations. Tu peux et tu dois refuser d’être pris au piège de l’offense. La clé, c’est garder ton cœur. La bonne réponse à l’offense c’est garder ton cœur. Proverbes 4 23 LSG Garde ton cœur plus que toute autre chose, car de lui viennent les sources de la vie. » Une version anglaise dit Guard your heart will all diligence… ». Le terme garder » signifie ici veiller, préserver, conserver, garder contre les dangers, tenir secret, garder fermé, bloqué. Autrement dit, nous avons la responsabilité de sécuriser notre cœur tel un veilleur ou un agent de sécurité. Nous en avons l’obligation car c’est lui qui maintient en vie notre homme intérieur. Tu as la responsabilité de le garder contre les dangers de l’offense et de l’amertume. Le Seigneur Jésus en a donné l’exemple. Alors même qu’Il était en pleine souffrances sur la croix, il fit monter cette prière à Dieu en Luc 23 34 LSG Pardonne-leur car ils ne savent pas ce qu’ils font. » Y- a-t-il pire offense que de conspirer l’assassinat de quelqu’un puis de l’exécuter ? Non seulement de l’exécuter, mais de la plus ignoble des façons, avec maintes outrages et moqueries ? Les propos de Jésus sont d’abord l’expression de ce que Lui-même les avait déjà pardonnés pendant même qu’Il subissait l’offense. Il n’a pas laissé Son cœur être gagné par le ressentiment. Il l’a gardé pur de toute offense. Prends la décision de garder ton cœur pur de toute offense tous les jours. L’offense est un piège, une prison. Quand nous décidons de nous en préserver ou de nous en libérer, c’est une décision ferme et consciente que nous prenons. Et une décision est toujours suivie d’actions volontaires et délibérées. La vérité, bien-aimé, c’est que ne pas éprouver de ressentiment face à l’offense est une réaction qui en quelque sorte court-circuite la chair. Renoncer à l’offense, loin d’être une sorte de déni revient à décider que c’est l’amour de Dieu qui dirige ta vie. C’est laisser Christ s’exprimer par toi. C’est une action surnaturelle mais dont les fruits sont la Vie avec grand V. Kim Phuc fut une petite fille de neuf ans dont les images ont fait le tour du monde à une époque. Pour cause, elle a été brulée au napalm pendant la guerre du Vietnam. S’en suit une série d’événements qui ont été largement médiatisés concernant la jeune Kim Phuc et les méfaits de cette guerre. Vingt ans plus tard, au cours d’une conférence Kim Phuc se trouve face à un ancien capitaine de l’armée, impliqué dans cette opération. Loin d’éprouver de la haine contre lui, elle répondit à ses larmes, le prenant dans ses bras Je te pardonne, je te pardonne ». Ce que les médias ne disent pas, c’est qu’à 19 ans Kim Phuc a donné sa vie à Jésus. Après plus de quatre décennies de souffrances, car elle porte de lourdes séquelles physiques, Kim Phuc disait au cours d’une interview J’ai commencé à prier pour mes ennemis et mon cœur s’est adouci ». Cela te rappelle quelque chose n’est-ce pas ? Les paroles de Jésus rapportées en Matthieu 5 44 LSG Mais Moi, Je vous dis Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent ».Si Kim Phuc l’a fait et elle n’est pas la seule c’est donc que toi et moi, nous aussi, nous le pouvons. Sais-tu que pardon et libération viennent du même mot en grec ? Ne t’attends pas à avoir des sentiments d’affection envers la personne qui t’a offensé, ou même l’envie de pardonner. Ce n’est pas une question de sentiments, mais un acte de la volonté !! Refuse l’amertume. Il faut agir tout de suite !!! Jésus nous a enseigné à prier tous les jours pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés. Ne pas le faire, c’est permettre que nos fautes restent entre Dieu et nous. Quand tu pardonnes, cet acte Lui donne le droit » légal de te pardonner. Non, pardonner n’est pas minimiser la faute de la personne. Mais c’est reconnaître que cette faute aussi, Jésus l’a portée dans Son corps brisé et que Son sang est suffisant pour l’effacer. Pardonne et oublie tout à fait ! Peux-tu imaginer ce que serait l’atmosphère du Ciel, si Jésus, chaque fois qu’Il rencontrait l’un de Ses élus, lui disait Je t’ai pardonné, mais je n’oublie pas! Tu ne te rends toujours pas bien compte à quel point tu m’as fait souffrir! ». Ce ne serait plus le Paradis! Ce serait une sorte d’antichambre de l’enfer! Fais donc comme Jésus. Efface la faute. Même quand ton offenseur ne vient pas te demander pardon. Il peut être nécessaire de discuter avec l’offenseur, particulièrement si c’est un proche. Dans ce cas, ne le fais que quand tu as déjà pardonné, non pour pardonner. Reste vigilants. Il nous faut agir véritablement en veilleurs sur notre cœur. C’est un traitement à faire en amont. Comme une sorte d’entrainement avant la compétition. N’attends pas d’être devant l’épreuve pour chercher comment y réagir. Sème les graines du pardon, de l’amour et de la bienveillance dans ton cœur. Ainsi l’amertume, le poison du diable ne pourra y trouver racine. Accepte d’être éprouvé par l’offense. 1 Pierre 1 6 – 7 LSG C’est là ce qui fait votre joie, quoique maintenant, puisqu’il le faut, vous soyez attristés pour un peu de temps par diverses épreuves. Afin que l’épreuve de votre foi, plus précieuse que l’or périssable qui cependant est éprouvé par le feu ait pour résultat la louange, la gloire et l’honneur, lorsque Jésus-Christ apparaîtra. » L’offense est utile pour nous purifier. Dieu veut nous purifier comme l’or par le feu de l’épreuve. Et cela ne peut se faire que par le biais de personnes proches ou pas. Si tu es déjà tombé dans le piège de l’offense, sache que ce n’est pas fini pour toi. Loin de là. Jésus est encore là pour te porter. La prophétie d’Ésaïe dit à Son sujet en Esaïe 61 1 LSG L’Esprit du Seigneur, l’Éternel, est sur Moi, car l’Éternel m’a oint pour porter de bonnes nouvelles aux malheureux; Il m’a envoyé pour guérir ceux qui ont le cœur brisé, pour proclamer aux captifs la liberté, et aux prisonniers la délivrance » Puis au verset 3 pour leur donner …. Un vêtement de louange au lieu d’un esprit abattu » Laisse le Seigneur te guérir. Je t’invite à faire cette prière Seigneur, je reconnais que telle personne [la nommer] m’a blessé, et que j’ai mal. Devant Toi, je lui pardonne maintenant, comme Tu m’as pardonné de tous mes péchés. Je lui pardonne et la libère. Moi, je suis une nouvelle créature en Christ. Je suis à Ton image. J’aime et je pardonne. Merci Seigneur Jésus. Confesse-le même si tes lèvres semblent t’écorcher. Il peut être nécessaire de le répéter tous les jours. Tu verras cette parole prendre chair et devenir ta réalité. Ton cœur sera ainsi purifié de l’offense.Daniel2 Comment réagir avec sagesse face à une situation périlleuse; Daniel 9:23 Priez comme quelqu'un considéré de précieux ! Les jugements de Dieu exercés dans le livre de Daniel ne sont pas tous négatifs; Ésaïe 58 L'attitude désirée par Dieu accompagnant le jeûne .: Études inductives :. .: Les paroles de Jésus :. Toute vie, quelle qu’elle soit, est aimée de Dieu. Spécialement dans le regard de Jésus. Dans le rapport à la maladie en général et à la maladie mentale aussi, donc, l’Ecriture présente une multitudes de situations allant de l’acceptation de la maladie à la guérison définitive de la maladie. Le tourment intérieur d’un Paul qu’il qualifiait d’écharde dans la chair » a trouvé pour seule réponse Ma grâce te suffit, car ma puissance s’accomplit dans ta faiblesse. » 2Corinthiens 12,9. A contrario, en Marc 5, un homme gravement atteint par la démonisation, et qui aujourd’hui serait classé dans des catégories psychiatrique de trouble dissociatif indéterminé », est délivré en quelque minutes par Jésus, de tous ses tourments y compris de ses comportements d’auto-destruction. Ce qu’il faut donc chercher c’est la proposition de vie que Dieu propose. Et c’est forcément au cas par cas. Nous aimerions que tous guérissent, mais ce n’est pas le cas. Les guérisons des uns doivent-elles provoquer la colère des autres ou la reconnaissance ? Chacun fait comme il peut pour y réagir. Du point de vue du malade, je vais vivre au jour le jour, oscillant de l’espérance à la désespérance. N’est-ce pas dans ces moments, en plus de tous les accompagnements, médicaux, familiaux, amicaux, qu’il faut chercher Le compagnon suprême Quand je traverserais la sombre vallée de la mort, je ne crains aucun mal car tu es avec moi. » Psaume 23,4. Navigation de l’article FSPn.